Mme Wisniewski et son petit-fils. La passion de cette pratique se transmet, aussi, en famille  Photo Progrès /Murielle PEYRE

Le 18 juin prochain, la section sarbacane du foyer laïque, organise le « papegai ». Drôle de nom ! Pour comprendre, il faut être plongé dans le monde de la sarbacane.

Alors, en quoi consiste ce temps récréatif ? Mme Wisniewski explique : « Nous installons un mât de 18 mètres sur un mur surmonté d’un oiseau, le papegai. Puis les chevaliers, à distance de 6 à 8 mètres, soufflent des flèches, à l’aide de leur sarbacane, pour atteindre l’oiseau.

« On est très impatient de se retrouver »

Ce rassemblement est organisé chaque année mais avec le Covid voilà deux ans que cette manifestation n’avait pas eu lieu.

En fin d’après-midi, la quarantaine de personne qui participe partage un bon repas dans la convivialité.

« On est très impatient de se retrouver. Le papegai signe la fin de la saison, c’est un peu notre but d’or. » Il faudra bien plus qu’un simple soufflet de sarbacane pour espérer toucher la cible du haut du mât pour atteindre le « papegai ». Une quarantaine de personnes est attendue à partir de 15 heures, samedi 18 juin dans la cour du foyer de l’amicale laïque mais cet exercice reste ouvert à tous les curieux qui voudraient s’essayer à la pratique de la sarbacane.